Deux sites industriels revalorisés pour un campus durable à CESI Nanterre
Dans cette page :
Découvrez le campus durable de l’école d’ingénieurs CESI Nanterre : une véritable réussite de réhabilitation industrielle !
À propos du bâtiment Nanterre 1
Le campus CESI de Nanterre s’est installé en aout 2010 sur une ancienne friche industrielle. Le premier bâtiment, dénommé Nanterre 1, est issu de la rénovation intégrale d’un site de stockage de pièces détachées pour l’aéronautique.
Cette réhabilitation d’ampleur conduisant à l’installation d’un Établissement Recevant du Public (ERP) a contribué à la mutation éco-responsable globale des quais de Seine de Nanterre.
Le campus bénéficie aujourd’hui d’un environnement immédiat de qualité avec le parc écologique de l’Ile, des chemins de halage connus des promeneurs et joggeurs, et des commerces de proximité.
À propos du bâtiment Nanterre 2
Le projet Nanterre 2, lancé en mai 2018, a permis d’étendre le campus sur près de 10 000 m². Il intègre désormais deux démonstrateurs de recherche. Ainsi, le campus bénéficie d’une expansion importante, ce qui renforce ses capacités d’innovation.
L’ancien site industriel a ensuite fait l’objet d’une construction neuve de 4 000 m², après une dépollution des sols et un désamiantage. Cela a donc permis de transformer un terrain pollué en un espace moderne et fonctionnel.
Le cadre de vie a également été un élément clé pour les aménagements du campus. Dans cette optique, pour limiter les déplacements des élèves et améliorer leur confort, chaque niveau dispose de cafétérias, de plateformes extérieures de convivialité, d’un atrium et de sanitaires.
Par ailleurs, des réserves pour stocker les eaux pluviales ont été aménagées près des bâtiments. Ces dernières permettent de ralentir l’écoulement des eaux dans le réseau communal et départemental.
Enfin, la qualité de l’air est également une priorité. À cet égard, le bâtiment Nanterre 1 renouvelle l’air quatre fois par heure. Pour Nanterre 2, un vide sanitaire hyperventilé a été installé. En outre, le recyclage de l’air est limité en période d’inoccupation pour réduire l’impact énergétique.