Le coworking, vecteur d’autonomie et d’innovation
Au sein du campus, un espace de coworking modulaire et innovant, d’une superficie de 650 m² et se situant au rez-de-chaussée du nouveau bâtiment a été créé. Véritable lieu de vie, cet espace, mis à disposition des étudiants, vise à favoriser les échanges, les synergies et la créativité.
Confortable, spacieux, convivial et totalement lié à l’évolution des pratiques pédagogiques, il peut accueillir simultanément jusqu’à 250 apprenants. Cadre idéal pour travailler sur des thématiques d’étude ou encore avancer, seul ou en équipe, sur un projet personnel ou professionnel, l’espace a été totalement pensé pour permettre aux apprenants d’aménager leur temps de travail selon leurs besoins. Cela commence par des horaires d’ouverture élargis afin de faciliter l’appropriation du lieu.
Avec cette volonté de stimuler la créativité, chaque élément qui compose le mobilier fait directement référence aux liens étroits qui unissent CESI au monde industriel : les tables ont été fabriquées à partir d’anciens planchers de wagons de train et leurs pieds ont été récupérés sur d’anciennes machines-outils.
La salle de coworking accueille une trentaine de ces larges tables en bois massif, où sur chacune, 6 à 12 étudiants peuvent s’installer. Chaque table a été équipée pour permettre à chacun d’y connecter son smartphone ou son ordinateur portable.
Modulables, hybrides, ouverts sur l’extérieur, ces espaces partagés répondent au besoin de flexibilité exprimés par les jeunes générations. En favorisant le travail en autonomie, ils préparent les apprenants à de nouvelles organisations et leur offrent les moyens de devenir acteur de leur projet professionnel et de leur formation.
En parallèle, cet espace disposé au rez-de-chaussée du bâtiment dispose d’une seconde fonction sur le temps de déjeuner : une cafétéria dont le service de restauration a été optimisé dans les moindres détails, jusqu’au système de commande des repas possible grâce à une application dédiée, favorisant ainsi la lutte contre le gaspillage alimentaire.
Caroline PATOUX
Responsable du département Etudiants du campus de Nanterre